Un peu de bonheur dans ce monde de brutes !

28 novembre 2012

Un peu de bonheur dans ce monde de brutes !

Après être passé dans les mains d'un dentiste menteur comme un arracheur de dents, après avoir subi un deuil cruel avec le décès de mon frigo*, après avoir constaté avec surprise et indignation que je n'avais pas gagné à l'euromillions, je reste positif. Faut dire que c'est facile, on a un Carrefour Contact à 200 mêtres de la maison !

Je ne sais plus qui disait un truc du style : le bonheur n'est jamais un état permanent, c'est juste une aptitude à savoir saisir les bons moments de la vie. C'est peut-ètre moi finalement. J'ai cette aptitude. Par exemple, la guerre Copé-Fillon. C'est un vrai plaisir ! Le feuilleton le plus drôle de la decennie. Les masques qui tombent, les coups bas, les tricheries, la mauvaise foi, les commentaires indignés des uns et des autres, les ambitions demesurées, les égos outragés, chaque journée apporte sa pierre à l'édifice de cette gigantesque pantalonnade bananière.

La victoire de Coco à la mise en Plage ! Voilà un truc qui fait plaisir. Avant de recevoir les votes, mon espousée et moi-même on espérait bien qu'elle allait gagner. Il me semble même avoir reçu des pressions pour que le résultat soit uhempéisé dans ce sens. Mais pas de ça chez nous, et puis ça n'a pas été necessaire. Pourquoi Coco ? Parce qu'on l'aime beaucoup**. Parce qu'elle est drôle, décalée et qu'elle a du tempérament. Tout ce qu'on aime. En ce moment elle doit être en train de réceptionner son cadeau. On espère qu'elle aura autant de plaisir en le déballant qu'on en a eu en le préparant !

L'aménagement de la maison qui a repris après un été de grosse feignasse. Chaque fin de journée, c'est un plaisir de voir les progrés réalisés. En ce moment c'est la cage d'escalier qui fait peau neuve. Crépis réenduit au MAP, peinture, décapage des marches et de la rampe. C'est jouissif !

En début d'après midi je vais chercher mon espousée à la gare de Vannes. Ca fait quatre ans, que régulièrement je viens l'accueillir un mercredi sur deux (en moyenne) sur le quai. Quand le TGV entre en gare, je ne peux réprimer un sourire. C'est toujours le même bonheur de la voir descendre du wagon.

Si tu te sens un peu déprimé en ces temps de crise, n'hésites pas à me contacter, je suis conseiller en bonheurologie.

* Curieusement, le frigo, après quelques jours d'agonie, est ressuscité ! Vous croyez que je dois informer le Vatican ?

** Il y a en a d'autres qu'on aime parmi les copinautes et qui se reconnaitront !

Posté par macaronleretour à 11:42 - Commentaires […] - Permalien [#]